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Bâtir sur le Roc (de l’ACFÉO à l’ACFO du grand Sudbury)

Comment l’Association canadienne-française d’éducation d’Ontario a-t-elle pu faire ouvrir des écoles françaises à Sudbury alors que le gouvernement ontarien imposait ailleurs l’odieux règlement 17? Pourquoi l’Université Laurentienne de Sudbury est-elle aujourd’hui bilingue plutôt que française, en dépit de la position défendue par l’ACFÉO lors de sa création?

Sous la direction de Guy Gaudreau, professeur à l’Université Laurentienne, quatre jeunes historiens se penchent sur ces questions et bien d’autres, dans leur étude d’une institution qui a été de toutes les luttes pour le développement scolaire et communautaire de l’Ontario française.

L’historique du drapeau
Personne n’aurait pu prévoir le succès que connaîtrait le drapeau franco-ontarien lorsqu’il fut dévoilé, pour la première fois, le 25 septembre 1975. Pour souligner son trentième anniversaire, l’ACFO du grand Sudbury a vu à la publication de l’historique. L’ouvrage Le Drapeau franco-ontarien, publié aux Éditions Prise de Parole, invite les lecteurs à découvrir les circonstances qui ont donné naissance au drapeau franco-ontarien, à revoir les nombreuses luttes menées en Ontario français alors qu’il prenait un lent essor et à retrouver les événements qui l’ont acheminé vers sa reconnaissance officielle en 2001.

Se plaindre, c’est pas chialer!
En Ontario, les Francophones ont droit à des services en français de la part des ministères ou des agences des gouvernements fédéral, provincial et municipaux dans les régions désignées. Lorsque nos droits linguistiques ne sont pas respectés, lorsque nous ne pouvons pas transiger avec ces ministéres et agences en français, nous avons le droit de nous plaindre. Ce droit s’applique à toute personne francophone se trouvant en Ontario.